Festival de Fès des Musiques Sacrées 2012
Mise en scène par Tony Gatlif, devenu maître dans l'art de capter dans ses films l'émotion des musiques tsiganes, orientales ou soufies, l'œuvre du grand poète Omar Khayyâm symbolise ce réenchantement du monde, thème de l'édition 2012 du Festival des musiquessacrées de Fès.
Tony Gatlif, en collaboration avec Faouzi Skali, directeur de la Fondation Esprit de Fès, et Alain Weber, directeur artistique du festival, présente des artistes d'Asie centrale, du monde oriental et occidental dans une scénographie inédite. Tony Gatlif, depuis son film-culteLatcho Drom en 1992 qui retrace l'histoire de la musique tsigane de l'Inde à l'Espagne, a été l'un des premiers metteurs en scène à mettre au premier plan les musiques traditionnelles et à présenter d'une nouvelle manière la véracité et l'extravagance de musiques qui véhiculent encore cesentiment de l'origine. Dans la plupart de ses films, la musique intervient sans cesse de manière à la fois tendre ou extatique pour nous entrainer dans ce grand tourbillon de la vie et de l'esprit.
L'écrivain et savant persan Ghiyath ed-din Abdoul Fath Omar Ibn Ibrahim al-Khayy?m Nishabouri,plus connu sous le nom d'Omar Khayy?m serait né le 18 mai 1048 à Nichapur en Perse (actuel Iran) d'un père fabricant de tentes. Dés 1074, il fut reconnu comme un grand mathématicien et astronome dans tout l'Orient. Ses nombreux travaux algébriques, ses équations cubiques, ses tables astronomiques, sa réforme du calendrier persan, ont fait de lui un grand savant de son temps. Mais à une époque où la science était profondément reliée au spirituel, Omar Khayyâm, habité d'une véritable quête mystique, traduira sa vision de l'existence, de Dieu et de l'éternité dans des poèmeshallucinants de beauté, ses fameux quatrains « Rubaïyat » qui traverseront les siècles jusqu'à nos jours.
Face à l'ambition du pouvoir, à la voie de l'anarchie et d'une quête souterraine, il propose une philosophie sereine et heureuse d'une vie tournée vers le moment présent et la lumière
Mise en scène par Tony Gatlif, devenu maître dans l'art de capter dans ses films l'émotion des musiques tsiganes, orientales ou soufies, l'œuvre du grand poète Omar Khayyâm symbolise ce réenchantement du monde, thème de l'édition 2012 du Festival des musiquessacrées de Fès.
Tony Gatlif, en collaboration avec Faouzi Skali, directeur de la Fondation Esprit de Fès, et Alain Weber, directeur artistique du festival, présente des artistes d'Asie centrale, du monde oriental et occidental dans une scénographie inédite. Tony Gatlif, depuis son film-culteLatcho Drom en 1992 qui retrace l'histoire de la musique tsigane de l'Inde à l'Espagne, a été l'un des premiers metteurs en scène à mettre au premier plan les musiques traditionnelles et à présenter d'une nouvelle manière la véracité et l'extravagance de musiques qui véhiculent encore cesentiment de l'origine. Dans la plupart de ses films, la musique intervient sans cesse de manière à la fois tendre ou extatique pour nous entrainer dans ce grand tourbillon de la vie et de l'esprit.
L'écrivain et savant persan Ghiyath ed-din Abdoul Fath Omar Ibn Ibrahim al-Khayy?m Nishabouri,plus connu sous le nom d'Omar Khayy?m serait né le 18 mai 1048 à Nichapur en Perse (actuel Iran) d'un père fabricant de tentes. Dés 1074, il fut reconnu comme un grand mathématicien et astronome dans tout l'Orient. Ses nombreux travaux algébriques, ses équations cubiques, ses tables astronomiques, sa réforme du calendrier persan, ont fait de lui un grand savant de son temps. Mais à une époque où la science était profondément reliée au spirituel, Omar Khayyâm, habité d'une véritable quête mystique, traduira sa vision de l'existence, de Dieu et de l'éternité dans des poèmeshallucinants de beauté, ses fameux quatrains « Rubaïyat » qui traverseront les siècles jusqu'à nos jours.
Face à l'ambition du pouvoir, à la voie de l'anarchie et d'une quête souterraine, il propose une philosophie sereine et heureuse d'une vie tournée vers le moment présent et la lumière
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